Type de document : article publié dans Poultry World
Auteur : Sunita van Es-Sahota
Extrait en français (traduction) : L’épointage du bec a été la solution idéale pour empêcher le picage des plumes chez les poulets et les dindes. Toutefois, depuis 2018, cette pratique n’est plus autorisée aux Pays-Bas. Les scientifiques de l’université de Wageningen cherchent à améliorer le bien-être des poulets en trouvant des mesures alternatives pour lutter contre le comportement nuisible de picage.
Le picage de plumes et le cannibalisme sont courants chez les poulets et peuvent causer beaucoup d’inconfort, certains poulets se picorant littéralement à mort. Ces problèmes de comportement semblent se produire aussi bien dans les systèmes d’élevage intensif que dans les élevages de volailles biologiques et de loisir. De nombreux facteurs peuvent influer sur le comportement de picage de plumes : la composition de la nourriture, le climat, la taille du groupe et le type de lumière dans le poulailler, pour n’en citer que quelques-uns. Tous ces facteurs peuvent également s’influencer les uns les autres. Il ne semble pas y avoir une seule raison qui puisse expliquer à elle seule les causes de ce comportement.
Extrait en anglais (original) : Beak trimming has been the go to solution to prevent feather pecking in chickens and turkeys. However, since 2018 this is no longer allowed in the Netherlands. Scientists from Wageningen University are looking into improving chicken welfare by finding alternative measures to combat injurious pecking behaviour.
Feather pecking and cannibalism are common in chickens and can cause a lot of discomfort, some chickens literally peck each other to death. These behavioural problems seem to occur both in intensive farming systems and in organic and hobby poultry farms. There are many factors that can have an influence on severe feather pecking behaviour: the feed composition; the climate; the size of the group and the type of light in the house, to name a few. All of these factors can also influence one another. There doesn’t seem to be one stand-alone reason that can explain what causes the behaviour.