Type de document : article publié dans The Horse
Auteur : Casey Gruber
Extrait en français (traduction) : La boiterie de l’antérieur chez le cheval : N’oubliez pas l’examen
Les informations fournies par le propriétaire et un examen approfondi de la boiterie peuvent aider les vétérinaires à lancer des enquêtes sérieuses sur les boiteries de l’antérieur.
Les boiteries survenant aux antérieurs sont responsables de la plupart des problèmes de santé chez les chevaux. Cependant, il a été et continue d’être difficile pour les vétérinaires de diagnostiquer une blessure spécifique ou une source de douleur dans le pied, car les structures peuvent être difficiles à visualiser en imagerie médicale. Avec le temps, au fur et à mesure que les connaissances médicales se sont développées, que la radiographie s’est améliorée et que l’IRM a été intégrée à la pratique équine, nous avons beaucoup appris sur l’anatomie et la physiologie complexes de la boîte cornée. Plus nous en savons, plus nous pouvons identifier les blessures. Ces connaissances ont ouvert les portes à de nombreuses options de traitement dans la boîte à outils du vétérinaire. Avec un diagnostic précis, le vétérinaire peut formuler un plan de traitement approprié et fournir une prévision précise sur le pronostic du cheval.
Malgré ces progrès, il est toujours important pour les vétérinaires d’effectuer un examen clinique approfondi. L’évaluation visuelle et l’examen clinique du cheval peuvent fournir des indications importantes sur le problème. Ces informations permettent souvent d’acquérir une grande quantité de connaissances qui aideront à orienter le besoin d’imagerie diagnostique.
Extrait en anglais (traduction) : Owner-provided information and a thorough lameness examination can help veterinarians start meaningful investigations into front foot lamenesses.
Lameness arising in the front feet accounts for most soundness issues in horses. However, it has been and continues to be difficult for veterinarians to diagnose a specific injury or source of pain within the foot because the structures can be tough to capture with imaging equipment. Over time, as medical knowledge has expanded, radiography has improved, and MRI has been incorporated into equine practice, we’ve learned a lot about the hoof capsule’s complex anatomy and physiology. The more we understand, the more injuries we can identify. This knowledge has opened doors to many treatment options in the veterinarian’s toolbox. With an accurate diagnosis, the veterinarian can formulate a proper treatment plan and provide an accurate forecast on the horse’s prognosis.
In spite of these advances, it’s still important for veterinarians to complete a thorough clinical exam. Visual and hands-on assessment of the horse can provide important clues as to the problem. This information often yields a wealth of knowledge that will help guide the need for diagnostic imaging.