Article proposant une justification non anthropocentrique d’une taxe sur la consommation de viande pour améliorer le bien-être animal. Fonctionnant comme un impôt pigouvien, cette taxe tient compte des externalités sur les animaux d’élevage et pourrait rendre l’élevage intensif non rentable. Les taxes seraient particulièrement élevées pour les poulets et les porcs, reflétant les différences de bien-être entre les espèces.